you're my daughter (+jenny)

Il regarda Rose , puis il regarda sa main dans celle de la femme qu'il aurait du quitté il y a presque une heure maintenant. Tout le monde se dévisageait avec tellement de questions à poser à l'autre. Les trois Docteurs se regardaient avec intérêt, c'était assez dingue, le neuvième avait devant lui ces deux prochains visages et le deuxième voyait son ancien visage et surtout celui d'après. Tout se bousculait dans sa tête. Pourquoi était-il la? Comment allait Rose ? Pourquoi le TARDIS avait-il l'air mort, et surtout pourquoi avaient-ils été tous 'transportés" à Londres et d'après le calendrier, le vingt quatre décembre deux milles douze. C'était trop d'un coup. Il lâcha le regard des docteur et regarda Rose qui avait l'air d'aller bien, mais qui était toujours accrochée à la main de son docteur. Rose allait plutôt bien, enfin aussi bien qu'un petit corps d'humain pouvait allé. Pourquoi ils était la, personne n'avait l'air de savoir pourquoi ils étaient la et surtout comment ils étaient arrivés la, et c'était pareil pour le TARDIS. Il n'était ni mort, ni malade, il avait juste l'air de ne plus fonctionné, il s'était éteint. Mais pourquoi un seul TARDIS pour trois docteur. Trop de question, sans réponse, il devait réfléchir, il se frotta la tête, se frotta les cheveux, lâcha la main de Rose, pour courir dans toute la pièce, puis tout d'un coup tout était devenu noir. Plus de lumière dans le bâtiments, plus de lumière dans les rues et ensuite un énorme crash. Un vaisseau qui venait de s'écraser. Les trois docteurs se regardèrent encore une fois, le neuvième décida de rester pour étudier le TARDIS, le onzième devaient rester pour bidouiller sur le tournevis sonique et étudier pourquoi ils étaient la, le neuvième lui commença à courir en direction de la sortie. Rose le suivis, mais il lui fit un regard pour lui demander de rester la dans la pièce, elle avait du mal, et lui aussi il faut dire, il n'avait pas envie de la quitter encore une fois, il avait tellement peur de la perdre, mais ils se sourirent, et il sortit du Palais. Un énorme nuage de fumé et quelques flammes entouraient le vaisseau qui venait de s'écraser, il essaya de s'avancer, mais la chaleur des flammes étaient beaucoup trop forte. Même si il savait que son corps aurait pu supporter une plus grande température, on aurait dis que la téléportation vers Londres en deux milles douze l'avait affaiblis. Il avançait encore et encore, pus il s'arrêta. Une ombre avançait vers lui, il fronça les yeux mais n'arrivait pas à définir la moindre ombre dans la noirceur de la ville. L'ombre s'avança, une ombre familière, ce qui n'était pas possible, car il n'existait plus à cette époque, mais il était la, donc il pensa à une chose, tout était possible. Nous étions le vingt quatre décembre de l'année deux milles douze à Londres, et il était la, en chair et en os, alors oui, en ce jour de noël, tout était possible.

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Elle n’avait rien vu venir. Non, absolument rien. Tout était normal et rien ne laissait à penser ce qui était sur le point de se produire. Aux commandes de son vaisseau, Jenny s’apprêtait à se rendre sur la planète Avalon. Elle avait en effet reçu un message lui laissant supposer que des choses étranges s’y produisaient. Loin de lui faire peur, l’idée de vivre une toute nouvelle aventure était particulièrement excitante pour la jeune femme et il lui tardait d’arriver sur place. Elle vivait depuis seulement trois ans, et pourtant, elle avait eu pleinement l’occasion de découvrir de nombreux mondes, mais jamais elle n’avait connu de phénomène s’approchant de près ou de loin à ce qui était sur le point de suivre. Soudain, une forte secousse vint ébranler son vaisseau, la faisant presque basculer en arrière. Immédiatement, elle vérifia les écrans de contrôle, mais rien ne semblait expliquer ce phénomène. C’est alors qu’une seconde secousse se produisit, plus forte cette fois-ci. Une étrange et aveuglante lumière entoura l’appareil qui s’ébranla. Jenny en perdit tout contrôle et n’eut plus d’autre solution que s’accrocher à ce qu’elle pouvait trouver, dans l’espoir que cela s’arrête à un moment ou un autre. Elle ferma les yeux, ayant l’impression que son moyen de transport était secoué dans tous les sens. Que se passait-il? Elle n’avait cessé de voyager à travers l’univers depuis trois ans, mais n’avait jamais rien vu de tel, ni même entendu parler de ce type de phénomène. Ce ne pouvait être un trou noir, elle l’aurait vu venir. Alors quoi?

Soudain, les secousses semblèrent s’atténuer. Elle put se relever et regarder ce qui était en train de se passer. La lumière se dissipa comme une sorte de brume et elle put voir qu’elle avait pénétré dans l’atmosphère d’une planète. En jetant un oeil aux écrans de contrôle, elle n’en crut pas ses yeux. La Terre, et même l’Angleterre. La machine semblait se diriger tout droit sur Londres. Comment avait-elle pu parcourir un si long chemin si rapidement? Peu importe, pour le moment, elle n’avait pas le temps de réfléchir à ce sujet. Heureusement, elle parvint assez rapidement à reprendre le contrôle de son vaisseau et elle allait pouvoir atterrir en douceur. Elle comptait se diriger un peu en dehors de la ville pour ne pas trop attirer l’attention. Cependant, elle avait crié victoire trop vite, car tandis qu’elle se rapprochait de Londres, les lumières s’éteignirent brutalement. Incapable de savoir du coup où elle se dirigeait, elle perdit tout contrôle. Elle tenta de limiter la vitesse et de limiter les dégâts, mais ne put empêcher son vaisseau de s’écraser près du Palais de Buckingham Palace. Elle qui avait espéré être discrète, c’était plutôt raté. Elle se sentait sonnée, mais il lui fallait sortir au plus vite avant d’être étouffée par la fumée, ou pire, brûlée vive par les flammes qui commençaient à entourer les vestiges de l’appareil. Elle s’extirpa comme elle le pouvait des décombres, vacillant quelque peu tant elle était étourdie par le choc de cet atterrissage difficile.

Une fois à l’extérieur, elle toussa et regarda le désastre. Voilà qu’elle se trouvait sans moyen de transport et sans savoir comme elle était arrivée là. Et puis, pourquoi la ville était-elle si obscure? Ce n’était absolument pas normale, et elle comptait bien découvrir ce qui se cachait derrière ces mystères. Cette alors qu’elle aperçut une silhouette non loin d’elle, qu’elle avait du mal à distinguer à cause de l’obscurité. Etrangement, celle-ci ne lui semblait pas inconnue. Elle s’approcha, tentant de distinguer plus de détails. « Qui est là? Mon vaisseau vient de s’écraser, et j’avoue qu’un peu d’aide ne serait pas de refus. »

Plus il avançait et plus la fumée s'épaississait. C'était de pire en pire et en plus de cela, il y avait toute l'histoire avec le TARDIS, lui et encore lui, avant et après et Rose. A la base, si tout c'était passé comme prévus, il n'était pas censé être ici maintenant, mais bien seul dans son TARDIS, en train de voyager, seul, après lui avoir laissé son double, en parlant de son double que faisait-il maintenant ou était-il? Est-ce que les dimensions parallèles avaient été toutes détruites? Il était une anomalie, il n'était pas censé être ici et maintenant, c'est vrai, c'était une anomalie, tout pouvait s'enchaîner. Plus il essayait de réfléchir et plus la fumée lui rendrait dans ses poumons. Il toussa encore et encore, même s'il n'était pas humain, il avait une cage thoracique et une paire de poumon aussi, certes il n'aurait pas pu mourir asphyxié, mais la fumée lui grattouillait les alvéoles pulmonaires ce qui lui donna envie de tousser. Il n'était pas non plus un super héros, il n'avait pas une super vision qui lui permettait de voir à travers les choses, en plus depuis qu'il avait enfilé sa dixième apparence, sa vue avait baissé, il avait dû porter une paire de lunette, il força sur ses yeux, pour essayer d'obtenir une image, mais rien n'y faisait, il faisait bien trop noir et en plus il y avait bien trop de lumière.

Puis il entendit une petite et légère voix, il connaissait ce petit brin de voix, elle lui était bien familière. Il devait se rapprocher, mais il y avait des décombres partout. Les flammes étaient de plus en plus grandes. L'air devait impropre à la consommation, même si la personne qui s'était écrasée dans ce vaisseau n'était pas humaine, quelle que soit la créature, elle ne survivrait pas longtemps dans ce paysage apocalyptique. Tout était en train de se détruire, de brûler et de faire sortir certainement des substances qui allaient se propager dans l'air et qui allait encore saccager cette belle ville de Londres. Ah Londres, il faut dire que la première chose à laquelle il avait pensé quand il avait ouvert les yeux après s'être retrouvé dans cette dimension, c'est qu'il était content de pouvoir être de retour à Londres car il allait pouvoir manger des chips au cornichon. Il repensa au chips, alors que ce n'était pas le moment, il avait la sale habitude de changer de sujet de détourner le sujet et de penser à quatorze sujets autres que celui qui l'intéressait pour le moment. Mais c'était le Docteur. Justement il était le Docteur ! Et il devait se servit de cela pour pouvoir aider, ces vrais pas de Tournevis, mais il n'en restait pas moins un seigneur du temps qui avait voyagé plus de neuf cent ans et qui connaissait énormément de chose. Puis il tombe nez à nez avec un moteur du vaisseau. Il en tomba comment dire ...Amoureux.« Oh il est magnifique ! Non vraiment c'est vrai, ahurissant ! Regardez ça ! Un mécanisme de l'ère cosmique ! Je l'adore il me rend dingue ! Écoutez ! Je parle du fond du coeur et-et dans mon cas j'en ai deux » quand je vous disais qu'il pensait à quatorze chose en même temps. Il retira ces lunettes pour regarder le moteur puis les remit quand il se décida d'aller sauver le voyageur en détresse. .« Je suis le Docteur, je vais venir vous sortir de la, faites moi un signe? un geste? un clignotement ? balancer vos tentacules? Ou vos griffes? Je suis désolé j'avoue que dans la fumé j'ai un peu de mal à discerné les espèces. »

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La situation était plus qu’étrange, c’était un fait, et surtout, elle laissait assez peu d’espoir: voilà que Jenny se trouvait sur Terre, sans savoir comment elle y était arrivée, dans une ville où toute lumière semblait avoir entièrement disparue et surtout, sans moyen de transport désormais. Elle n’avait pas besoin d’être spécialiste en la matière pour savoir que son vaisseau était irrécupérable. Ceci dit, les choses auraient pu être bien pire. Après tout, elle était vivante, en un seul morceau, et avait un tout nouveau mystère à éclaircir. Car il y avait effectivement quelque chose qui clochait pour qu’elle ait soudainement été projetée en un lieu si éloigné de son point d’origine, dans une version de Londres plongée dans l’obscurité. Déjà, elle se demandait ce qui pouvait se dissimuler derrière tout cela, et il lui tardait de se mettre à chercher des pistes. Qu’y avait-il de plus réjouissant, de plus excitant, au fond? A côté, la perte de son vaisseau était un événement de bien moindre importance. Elle trouverait bien un moyen de repartir. Après tout, au septième millénaire, la planète Terre était bien assez évoluée pour qu’elle y trouve ce dont elle aurait besoin. Au fond, elle s’en sortait toujours bien, et il n’y avait aucune raison pour que les choses soient différentes cette fois-ci.

Il devenait néanmoins urgent qu’elle s’éloigne le plus possible de ce qui fut un temps son vaisseau spatial. Elle s’y était attachée et le regretterait, mais elle n’avait pas vraiment le choix si elle ne voulait pas finir brûlée vive. Elle s’était régénérée une fois, elle ignorait combien de fois ce processus fonctionnerait et elle préférait ne pas tenter le diable. Cependant, la fumée, de plus en plus opaque, l’aveuglait et provoquait chez elle des quintes de toux à répétition. Elle vit rapidement que malgré tous les efforts du monde, elle ne pourrait rien sauver de ce qu’elle possédait. Tant pis, elle se débrouillerait autrement. Heureusement, l’obscurité l’empêchait de constater l’étendue des dégâts que ce petit accident avait causés et qui étaient relativement étendus. Elle pouvait simplement espérer n’avoir tué ou blessé personne dans le crash. Elle se sentait affaiblie et il lui semblait que son corps entier lui faisait mal, mais elle était forte et se rétablirait vite. A présent, elle ne pouvait nier qu’un peu d’aide lui serait fort utile et elle espérait bien en obtenir de cet individu qui s’était approché d’elle, la seule âme qui semblait errer dans les environs. C’est alors qu’elle l’entendit s’exclamer au sujet du mécanisme de son vaisseau. A l’instant où elle l’entendit parler, elle se figea, interdite. Cette réaction n’était pas provoquée par la surprise à l’écoute de paroles si étranges, mais elle était due au son de sa voix, une voix qu’elle aurait très probablement reconnue entre mille. Etait-ce possible ou s’agissait-il d’une simple illusion? Elle ne douta plus de son pressentiment lorsqu’il se présenta : le Docteur. Pour ceux qui le connaissaient, il était un être exceptionnel, à part entière. Mais pour Jenny, il était bien plus que cela. Il était son père. Certes, sa conception avait été quelque peu inhabituelle, mais c’était un fait certain et indéniable pour la jeune femme. « C’est étrange, une humaine a dit un jour que vous et moi étions semblables. » Ses paroles semblaient détachées, mais elle ne pouvait maîtriser le tremblement de sa voix. Elle s’avança, aussi calmement qu’elle le pouvait, jusqu’à ce qu’elle se trouve suffisamment à proximité des flammes pour que celles-ci puissent éclairer son visage. Un sourire se dessina sur ses lèvres. « Bonsoir papa. Je t’ai manqué? » Malgré son air malicieux, elle ne pouvait pas cacher qu’elle avait les larmes aux yeux et mourrait d’envie de le serrer dans ses bras.

Le Docteur regarda encore face à lui ne comprenant pas ce qu'il se passait, il était pourtant clair que la personne qu'il avait en face de lui était quelqu'un qui connaissait, quelqu'un avec qui il avait passé du temps mais aussi avec qui il avait vécut quelques bonnes aventures, et en plus de cela, cette personne avait du rencontré soit Rose, soit Martha ou encore Donna. De toute façon il faut se l'avouer il rencontrait tellement de personne dans al vie qu'il avait du mal des fois de se souvenir de eux...Du moins du sons de leur voix, parce que se serait un mensonge de dire que le Docteur oublie un visage, il était tellement physionomiste, il se souvenait de tous les visages qu'il avait pu croiser dans sa vie, absolument tous, de la tête d'un gardien de zoo qu'il avait vu trois minutes à celle de Rose Tyler qu'il n'oublierait jamais soit dit en passant, et même de la pire tête d'alien qu'il avait vu dans sa longue et triste vie. Ce qui était déjà certain c'était que la personne de l'autre côté de la fumée n'était pas humaine, sinon elle n’aurait pas employé le terme humaine pour parler. Puis l'ombre s'avança encore vers lui, ça n'arrivait pas souvent, mais le docteur avait la boule au ventre, il savait qu'il allait revoir une personne a laquelle il ne s'attendait pas à revoir, mais il avait surtout peur qu'en fin de compte ce soit une de ces bestioles immondes qu'il détestait temps et qui allait lui sauter dessus, il était désarmé, ce n'était plus qu'un simple docteur avec un énorme cerveau deux coeur et des poumons remplit de fumée toxique.

La surprise fut grande quand il aperçut celle qui était sa fille, non pas sa fille dans les bons thermes, mais sa fille dans son ADN. Jenny, qu'il avait quitté quand elle était décédée, elle était morte dans ces bras, se sacrifiant pour ce qu'elle trouvait juste et bon, jenny sa fille, une moitié de seigneur du temps qui devait avoir entre deux ou trois ans maintenant. Jenny.. il avait eu des enfants de vrais enfants biologiques, voulut et non voulut, mais Jenny même si elle n'était pas née dans après une incubation dans un être humain après neuf mois d'attente était tout de même plus proche de sa fille que tous les autres. elle avait l'ADN d'un seigneur du temps mais aussi l'adn d'un être humain, même si son incubation n'avait durée que quelques minutes à peine. Jenny, la petite, enfin la grande Jenny. Lorsqu'il aperçut son petit sourire, il se souvint de ce qu'elle avait fait pour lui, elle l'avait fait se sentir tellement vivant, tellement vrais, tellement père, et pourtant père il avait été. « Jenny, ma jenny ! Mais c'est physiquement impossible ! » Il lui tendit les bras pour que la jeune fille se jette dessus même pas le temps de dire ouf. C'était juste physiquement impossible c'est vrai, il l'avait vue mourir dans ces bras. Il dessera ces bras avant de la regarder de haut en bas, elle n'avait pas pris une rides, à son âge ça aurait été malheureux. Mais pas le temps pour les grandes retrouvailles il fallait décamper d'ici, tout était en feu, tout était en train de se détruire et d'exploser, il se saisit de sa fille avant de courir dans le sens inverses de ou s'était craché le vaisseau. Il l’emmena dans une ruelle qui était à la perpendiculaire de la rue de ou Jenny venait. Ils se collèrent contre le mur avant qu'une grosse explosion ne se fit entendre. Puis il passa sa tête pour pouvoir regarder ce qu'il se passait, il regarda pourquoi tout était redevenu si calme. « [color:8945=crimson ]Jenny, ma jenny. Mais dans quelle galère à tu pu bien te mettre. » Et il se saisit de la tête de sa fille blonde avant de lui poser un baiser sur le front « Grâce à toi, je viens de me prendre un coup de vieux, j'ai l'impression de me rapprocher de mes milles années d'existences. »

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Durant près de trois ans, Jenny avait parcouru l’univers, sauvé des populations, exploré des planètes. Néanmoins, elle n’avait jamais pu trouver le moyen de voyager dans le temps et elle savait que sans cela, il n’y avait pratiquement aucune chance pour qu’elle retrouve son père, jusqu’à aujourd’hui. Lorsqu’elle s’était réveillée après s’être régénérée, il était déjà parti avec Donna et Martha. Elle ne pouvait l’en blâmer, après tout, il l’avait crue morte, mais elle avait regretté que son réveil ne soit pas venu plus tôt. Elle avait rêvé de repartir avec le Docteur, loin de Messaline et de voir tous ces mondes dont il lui avait parlé. Il était sa famille, sa seule et unique famille et il lui tardait de voyager avec lui. Malheureusement, tout ceci n’avait jamais pu se réaliser et au lieu de cela, elle avait pris le parti de parcourir l’univers de son côté. Pourtant, jamais elle n’avait perdu l’espoir de retrouver son père un jour, d’autant plus que le fait qu’il la croie morte la peinait. Elle sentait qu’un jour, leurs routes se croiseraient de nouveau, mais jamais elle n’aurait imaginé que cela se fasse dans de telles circonstances, alors que son vaisseau spatial venait de s’écraser en plein Londres, après avoir été pris dans une sorte de tourbillon d’origine inconnue. Mais en cet instant, elle se souciait bien peu de cet étrange phénomène, ou même de l’obscurité qui régnait sur la ville. Non, à présent rien ne comptait davantage que son père et le fait qu’il se trouve face à elle.

Enfin, il la vit, il vit son visage. Elle n’envisageait même pas qu’il ait pu l’oublier, bien qu’ils ne se soient vus au fond que peu de temps avant qu’elle se fasse tirer dessus par le général de sa propre armée, sauvant ainsi la vie du Docteur. Elle sentit les larmes lui monter aux yeux lorsqu’elle vit l’expression de son visage quand il la reconnut. Répondant à son invitation, elle se jeta littéralement dans ses bras, réalisant à quel point il lui avait manqué, à quel point elle était soulagée de l’avoir retrouvé, même si elle ignorait tout des circonstances qui l’avaient amenée à lui. « Pas si impossible. Je suis aussi un Seigneur du temps, ne l’oublie pas. » Elle lui ressemblait davantage qu’il ne l’avait cru au début. Comme lui, elle s’était régénérée, mais sans changer d’apparence physique. Elle avait survécu, et à présent elle pouvait enfin le retrouver. Mais en effet, il devenait dangereux de rester ici, près de son vaisseau qui avait pris feu. Elle eut une pensée de regret pour ce qui fut son moyen de transport, ainsi que pour toutes ses affaires et se laissa entraîner par son père juste à temps pour échapper à l’explosion qui détruisit ce qui restait des débris. Puis, tout redevint silencieux. Elle se tourna de nouveau vers lui pour répondre à ses questions. « Si seulement je le savais! Je me suis retrouvé entraînée dans une espèce de tunnel... Un genre de trou noir, sauf que ça n’avait rien d’un trou noir. Et d’un coup, je me suis retrouvée ici, alors que j’étais à des milliers d’années-lumière de la Terre. » Puis, elle sourit, songeant que son voyage s’était bien terminé finalement. « Si je m’attendais à te revoir ici! Mais ne t’en fais pas, je t’aime, même vieux. » Elle sourit malicieusement déposa un baiser sur la joue de son père. Il lui avait plus manqué qu’elle n’aurait pu l’imaginer et à présent qu’elle l’avait retrouvé, elle comptait bien ne pas le laisser partir de sitôt. « Et Donna, et Martha, sont-elles avec toi? » C’était bien évidemment Donna qu’elle désirait le plus revoir, Donna qui avait été la première à croire en elle et lui avait donné son prénom. Quant à Martha, elle avouait qu’elle se sentait toujours un peu coupable de l’avoir abandonnée parmi les Haths lorsqu’ils se trouvaient sur Messaline. A l’époque, elle n’était à ses yeux qu’un dommage collatéral. Les choses avaient bien changé depuis.

« j'oublie souvent que mes progénitures sont aussi des seigneurs du temps» puis il la regarda de haut en bas, c'est vrai une seigneur du temps, enfin une demi, son ADN et celui d'une machine. Seigneur du temps, ce qui veux dire régénération, enfin pas tous, il lui est déjà arrivé de rencontré des demi seigneur du temps qui avait son intelligence, les deux cœurs, ce qui pour lui était le plus génial dans son cas, oui il adore ses deux cœurs ça lui à déjà sauvé étonnamment de fois la vie, aussi son don de clairvoyance, pas au sens propre mais certains de ces enfants étaient capables de reconnaitre les personnes venant d'autre planète grâce à une odeur, grâce à un son de leur voix ou même grâce au touché, mais le fait de se régénérer, il ne fallait pas croire tout ce que l'on pouvait penser, tous les demi seigneur du temps n'était pas capable de le faire au sens propre du terme, certain changeait de forme comme lui d'autre guérissait comme Jenny et d'autre avait une espérance de vie bien trop longue. Il était heureux de la voir en vie et en pleine forme surtout, la dernière fois qu'il l'avait vue, elle était un tout petit peu moins en forme pour ne pas dire morte.

Puis il écouta son histoire de tunnel, un tunnel qui l'avait emmenée jusqu'ici, c'était déjà une question qui résolvait réinterrogation, mais évidement elle contenait plusieurs inconnues. Donc il s'agissait d'un tunnel, et lorsqu'un tunnel se crée il y a deux possibilités, soit c'est un pure hasard, mais évidement le hasard le Docteur n'y croyait pas vraiment, tout n'était qu'une question de temps, et si c'était une question de temps et bien il s'agissait de quelqu'un donc l'origine de ce quelque chose était quelqu'un ou encore quelque chose. Et il n'aimait pas s'imaginer que quelque chose était assez puissant pour envoyer des choses d'autre temps et dimension vers un même univers dans un Londres en deux milles douze, cette chose avait un rapport avec le temps et ce qui avait un rapport avec le temps avait obligatoirement un rapport avec...«Jenny ! han Jenny » et il lui embrassa le front. Tout ce qui avait un rapport avec le temps avait obligatoirement un rapport avec les seigneurs du temps, c'est eux qui était à l'origine de ce temps, de cette continuité, et de tout ce qui se retrouvait dans cette catégorie la. Il sourit, il avait oublié peu à eu le sourire de Jenny, pourtant il n'oubliait jamais rien. « même si c'est une surprise, je suis très heureux de te voir en chair et en os...et surtout vivante» puis il la regarda encore avant de la resserer encore dans ces bras, il évita le sujet de Martha et Donna, à vrai dire il n'en avait aucune idée, il n'y avait pas pensé, il n'avait pensé qu'à une et une seule personne, et il n'avait pas pensée à ces deux amies, enfin son amie et sa meilleure amie de toute façon il ne devait plus penser à Donna qui ne devait en aucun cas savoir qui il était pour ne pas mourir. il reprit ces esprits et repris son sérieux. « Jenny, avant d’atterrir ici ou étais-tu ? Sais tu ou nous sommes et surtout quand ?»

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