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 viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven

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Rebecca E. Fitzpatrick
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MessageSujet: viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven   viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven EmptyVen 26 Oct - 8:44


viens joséphine, dans ma machine qui vole

Le moment était venu de rendre nos devoirs à Mr. Carson, le professeur d'arts plastiques. J'échangeais quelques regards complices avec Posy, que j'avais rencontré – enfin plutôt avec qui j'avais sympathisé, puisque nous nous connaissions déjà de vue – tout récemment. Nous nous étions rendu compte avec une stupeur non-dissimulée que nos manières de voir le monde étaient plutôt similaires... Dans nos cœurs papillonnaient des étoiles et des envies de voir le ciel, de voir l'univers. Même si pour moi c'était en partie chose faite... Enfin seulement en partie. Et je m'étais appliquée à faire ressortir cela sur ma peinture, même si elle était de piètre qualité. L'inspiration n'était pas forcément là, mais on lui forçait quelques peu la main. Tendant mon devoir au professeur, je me mis à mâchouiller nerveusement ma lèvre inférieure. Ma moyenne allait en prendre un sacré coup, ce n'était pas une œuvre d'art, loin de là. Mais bon, ce n'était pas au centre de mes préoccupations actuelles, à vrai dire. Je sentais que quelque chose se préparait, et que ma vie serait bientôt chamboulée... J'avais toujours eu un sixième sens pour ce genre de choses, depuis l'enfance. Des événements m'arrivaient de plus en plus fréquemment, depuis que j'avais rencontré le Docteur. Le Docteur... Il s'était montré si fascinant que je ne pouvais m'empêcher d'y penser chaque jour, désormais. Ça faisait partie de moi, comme un morceau à part entière de mon âme. J'avais passé tant de temps à le chercher sans jamais le trouver, à le manquer de peu, à tomber sur des photos de blogs sur le net... Sans jamais vraiment être en contact avec lui. Sans jamais l'atteindre. Il était... oui, comme un mirage. La sonnerie résonna, me permettant d'aller vaquer à mes occupations, enfin. Ramassant mes affaires, je pris mon temps pour sortir, afin d'éviter la cohue qui bloquait souvent la porte d'entrée.

Mais un bruit me tira de ma rêverie. Un bruit étrange, pareil à aucun autre, que je pensais reconnaître parmi tous les autres bruits de la ville ambiante. C'était un bruit totalement indescriptible, inimaginable. J'avais l'impression doucereuse de revivre un moment de ma vie, d'assister à un véritable et miraculeux flash-back sur l'un des événements les plus significatifs de ma vie. Oui, il me semblait bien savoir d'où provenait ce bruit, et un large sourire s'afficha immédiatement sur mon visage... Il était là. Il était revenu. Des étoiles se mirent à danser au fond de mes pupilles, scintillant de mille feux dans mes yeux jusqu'à présent si ternes. Ma vie venait de reprendre enfin un sens, mes efforts avaient fini par payer... Je me retournais, presque en slow motion. On aurait très bien pu imaginer pour cette scène une musique dramatique en arrière plan, et des séquences au ralenti... C'en fut tout autrement. Bien sûr, comme dans mon souvenir, ce son était à la fois agréable et infini... D'une profondeur telle que c'était comme s'il venait d'émerger du tréfonds de mon subconscient. Et cette fois, il était réel, pour sûr. Il l'était, je n'inventais rien... Ce n'était plus le simple mirage d'une enfant à l'imagination trop fertile. C'était tout ce qu'il y avait de plus concret, dans les rues de Londres. Un homme tout en chemise et en nœud papillon était affairé à « trifouiller » les systèmes de sécurité de l'établissement. Ne m'ayant pas vu, il se faufila ensuite discrètement dans la salle des professeurs, et j'entendis alors sonner une voix dynamique et assurée. Comment... ? Il n'avait pas pris une seule ride, depuis la dernière fois, alors que j'avais mûri au-delà du possible. Et s'il ne me reconnaissait pas ? Et si pour lui, je n'étais qu'une personnage insignifiante parmi les centaines d'autres circulant dans cette école ? Tout d'abord, que venait-il faire ici ? Il n'était pas là pour étudier l'art, c'était certain... Mais ce qui importait, c'est que j'aurais l'occasion de le revoir. Revoir ce fantôme que j'ai poursuivi pendant plus de dix ans de ma vie, ce qui me semblait comme une illusion ; une oasis en plein désert, un rêve inaccessible. Revoir celui qui m'avait fait voir monts et merveilles l'espace d'une journée, celui qui était devenu mon héros... Le héros d'une petite fille de sept ans en mal de voyager. Il rouvrit la porte de la salle des professeurs, et en sortie... Nous tombâmes nez à nez. Son tournevis sonique – j'avais appris que c'était comme ça que ça s'appelait – dépassait de sa poche droite – et c'était donc la source du bruit de tout à l'heure, sa cabine bleue n'était nulle part aux alentours.
    « Docteur ? »

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MessageSujet: Re: viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven   viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven EmptyDim 28 Oct - 0:09


viens joséphine, dans ma machine qui vole


J'avais suivi cette jeune fille aux cheveux noirs jusqu'à un bâtiment en pierre blanche qui ressemblait étrangement à une école. Plutôt une université d'ailleurs ; vu l'âge des gens qui trainaient sur le campus. Je n'aurais aucun mal à m'intégrer à cette foule avec mon look de professeur de géographie. Je resserrais mon nœud papillon et j'entrais dans le hall de la fac. Un beau grand hall, plusieurs peintures sur les murs ou dessins type art contemporain et surtout un faux Rembrandt. Je savais qu'il était faux parce qu’en l’occurrence, c'était moi qui avait dû peindre cette horreur. Une longue histoire qu'il conviendrait de raconter, mais plus tard. Pour faire court, elle impliquait plusieurs Slitheen en fuite, Rembrandt et moi, le tout en Allemagne. J'avisais un ordinateur en libre service et je m'en approchais. Par réflexe, je sortais mon tournevis sonique et essayait de l'utiliser sur le PC, mais il émit quelques sons un peu faible et je me frappais le front avec en me rappelant qu'il ne fonctionnait plus depuis que le Tardis était en panne sèche. Je le rangeais dans ma poche droite et décidait de faire ça à l'ancienne. En clair, je remontais mes manches et je jouais au hacker du dimanche sur une machine aussi vieille que moi. Je tapotais à la vitesse de la lumière, cherchant le dossier des professeurs, celui des élèves et toutes les informations possibles sur cette école. J'apprenais, d'abord, qu'il s'agissait d'une école d'art d'où les peintures et autre dessins (et mon faux Rembrandt). J'apprenais aussi qu'il y avait assez peu d'élève et que la personne que je cherchais s'appelait Posy. Un nom facile à retenir, j'accédais à ses relevés de notes : plutôt bon, bravo miss Posy. Il fallait maintenant que je puisse entrer en contact avec elle d'une manière ou d'une autre. Me faire passer pour un élève ? Non, je serais obligé d'enlever mon nœud pap. J'affichais la liste des professeurs et en la faisant défiler, je choisis de m'intéresser au prof d'histoire de l'art. Oui, ce serait pas mal pour moi : de l'histoire, de l'art et je pourrais garder mon nœud papillon. J'effaçais le nom du précédent professeur, accéder à son compte bancaire et lui faisait un million de livres ; c'était pas beaucoup, ou peut être que si, en tout cas ça suffirait. Je rajoutais mon nom à côté de la matière : DOCTOR écrit en gros.

Je m'apprêtais à partir et je réalisais que j'étais devenu prof. J'eus un petit rire de contentement avant de reprendre mon chemin vers la salle des professeurs. J'avais trouvé le plan de l'établissement dans l'ordinateur et je l'avais mémorisé. J'entrais dans la salle des professeurs ; assez vide en cet après-midi. Les rares gens présents se retournèrent à mon entrée dans la salle et je vis ce regard si particulier. Les gens me regardent toujours de cette manière quand j'entre dans une pièce : c'est un savant mélange d'incrédulité et de consternation. « Bonjour ... collègues, j'avais jamais dit ça c'est génial, je suis le nouveau prof d'histoire de l'art ». Je faisais le tour des gens en les embrassant et en les gratifiant de tapes amicales sur les épaules ou les joues. « L'histoire ... l'art, l'art ... l'histoire ». Je faisais une pause me perdant dans mes pensées quelques secondes. « Je suis sûr qu'on s'amusera beaucoup et Oh ! Si jamais quoique ce soit de particulier devait arriver ici ou serait déjà arrivé ici ». Je levais l'index en l'air et promenait mon regard dans toute la salle. « Venez m'en parler ». Je souriais et sortais de la salle sans leur laisser le temps de s'interroger sur mon compte. Tournant le dos à la porte, je me retrouvais face à face avec une jeune fille blonde qui me scrutait, m'étudier de son regard incrédule et presque choqué. Je ne la reconnu pas tout de suite ; elle avait sacrément grandi. « Doctor ? ». Mais je reconnu sa voix et petit à petit, je faisais l'association entre le visage de cette jeune femme et celui de la petite fille qu'elle avait été un jour. Le jour où j'avais débarqué dans sa vie pour en repartir presque aussitôt. « Becca ! ». Je la pris dans mes bras. J'étais sincèrement heureux de la revoir. En général, je ne faisais que passer et je ne revenais jamais, mais pour une fois, pour la première fois peut être, j'avais l'occasion de ne pas détruire complètement la vie d'une jeune fille qui, je le savais, avait passé toute sa vie à m'attendre. « Regarde-toi. Tu es .. magnifique, une grande jeune fille et dire qu'il y a peine quelques jours tu étais une fillette apeurée des étoiles plein les yeux ». J'étais comme un vieux papy un peu gaga, en regardant Rebecca je voyais la petite fille que j'avais rencontré il y a tant d'années. « Qu'est-ce que ... qu'est-ce que tu deviens ? ». J'avais toujours un peu peur de poser cette question, toujours peur qu'on me réponde : vous avez fichu ma vie en l'air.

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MessageSujet: Re: viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven   viens joséphine, dans ma machine qui vole + eleven EmptyDim 28 Oct - 11:54


i'm like a kid who just won't let it go

Mon regard figé sur le Docteur, j'aurais eu la bouche ouverte que ça ne m'aurait même pas étonné. C'était comme si le temps n'avait pas eu d'emprise sur lui... Le même nœud papillon, la même veste de tweed ; les mêmes cheveux en bataille et le même sourire contagieux. Comme le jour où il est atterri devant chez moi pour la première fois... Pour la dernière fois, à vrai dire. Mais là, l'histoire prenait un tournant majeur et peut être que je pourrais enfin profiter de tout le temps et l'espace à ma portée ! Rien qu'à cette pensée, j'en étais toute excitée, impatiente de parcourir l'espace et de voguer d'étoile en étoile... Et ce qui ajouta encore plus à ma joie ? À peine était-il sorti de la salle des profs qu'il me reconnut... Il avait donc en plus de tout cela une mémoire à l'épreuve du temps. Dieu seul savait combien de temps c'était écoulé, d'ailleurs. Oh, pour moi ça ne faisait que quatorze ans. Quatorze ans que j'avais attendu, à regarder désespérément par la fenêtre l'apparition d'une boîte bleue devant chez moi ; quatorze ans que j'avais espéré voir sa cabine traverser le ciel. Mais pour lui... Le calcul s'avérait tout à coup beaucoup plus délicat. Ça pouvait faire des milliers d'années, tout comme il pouvait m'avoir quittée il y a cinq minutes. Mais il semblait malgré tout aussi surpris que moi que nous nous retrouvions face à face, après tout ce temps. Il se rappelait de tout, même de mon prénom... Oh Docteur, vous arriverez même à faire s'émerveiller la jeune adulte que j'étais devenue. Il cria mon prénom, puis me prit dans ses bras... Wow, je ne savais vraiment plus où me mettre. C'était sans doute le choc de l'avoir revu, ou peut être le fait que mes pupilles devaient être plus dilatées que jamais, mais j'eus du mal à savoir où j'étais exactement. Mon temps de réaction était quasi-nul. Il m'enlaça, et j'avais encore mes deux bras en l'air, sans aucune prise... La scène était presque risible, mais c'était surtout toute cette émotion qui m'envahissait. Un mélange de sentiments sur lesquels je n'arrivais parfois pas à mettre de nom, mais un ensemble sur lequel j'arrivais à mettre une cause : le Docteur. Et il semblait heureux... Nous étions heureux. « Regarde-toi. Tu es... magnifique, une grande jeune fille et dire qu'il y a peine quelques jours tu étais une fillette apeurée des étoiles plein les yeux » « Ca fait plutôt quelques années, mais oui, c'est plutôt ça... », répondis-je en un rire, presque nerveux. Vraiment, c'était trop beau pour être vrai ! Même si pour l'instant, j'avais encore moins de conversation que lors de mes sept ans... En espérant qu'il ne s'en rende pas compte, ou ne me trouve pas trop potiche. Puis lui d'enchaîner : « Qu'est-ce que... qu'est-ce que tu deviens ? ». Je sentais un soupçon de gêne et d'appréhension dans sa voix... C'était compréhensible, sachant qu'il était de la mini-version de moi, à la version actuelle. Fort heureusement, il m'avait reconnue, sinon je ne savais pas vraiment comment la scène aurait tourné. J'hésitai tout de même à répondre... Marquant un temps, je repris ma respiration – l'expression « en avoir le souffle coupé » n'était pas si imagée que ça – et eus un autre rire nerveux. Avec tout le flegme britannique et l'humour dont je pouvais faire peur, je tentais de tourner mes propos de manière à ne pas m'effondrer. « Oh, eh bien vous savez, j'ai eu huit ans, consulté plusieurs psys, puis j'ai déménagé et j'ai passé toute une vie à vous attendre... Et puis vous voilà, au beau milieu de ma fac d'arts ! Fascinant, non ? D'ailleurs... » Je me rapprochais de lui, puis ajoutais à voix un peu moins élevée « Mais que faites-vous ici ? ». C'était la question qui me taraudait le plus depuis tout à l'heure, à vrai dire. Depuis que j'avais repris mes esprits, je me demandais pourquoi le Docteur, alors qu'il avait tout le temps et l'espace à sa portée, avait choisi de venir jusqu'à la London Art School.

Nous nous écartâmes un peu de la porte, pour commencer à arpenter le couloir rempli d'élèves. La masse de personne était si dense qu'on ne nous remarquait même pas. Le Docteur réajusta son nœud papillon et passa sa main dans ses cheveux plusieurs fois ; ça me fit rire. Me retrouver est une grande occasion, Docteur ? Ne vous en faites pas, vous êtes très beau comme ça... C'était les mêmes gestes un peu maladroits qu'il avait reproduit la première fois qu'il m'avait ouvert la porte de sa cabine. D'ailleurs, il fallait absolument que je lui demande comment on appelait ça ! Rien de plus frustrant que de ne pas arriver à mettre un nom sur une chose, surtout lorsque l'on étudie l'art... Mais ce que j'attendais le plus, c'était de revoir ladite cabine. Sa boîte bleue, plus grande à l'intérieur. Il m'avait fait voir les étoiles au sens propre du terme... J'espérais pouvoir aller plus loin, cette fois. Pouvoir voyager et assister au Big Bang, ou même assister au concert de Queen au Wembley Stadium – je n'étais pas née lorsqu'il a eu lieu, ce qui est et restera toujours un des grandes regrets de ma vie. Qui sait, peut être accepterait-t-il que je voyage avec lui pour, disons, plus de quelques heures ? Pour que je profite une nouvelle fois de toutes les merveilles de l'univers, et plus encore.

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